Description générale
Les aldéhyde déshydrogénases (ALDH) forment une superfamille d'oxydases de phase I et sont conservées au cours de l'évolution dans les eubactéries, les eucaryotes, les archées et d'autres organismes vivants. L'ALDH est abondamment exprimée dans le foie et présente dans le tissu hépatique. Elles sont localisées dans le cytoplasme, les mitochondries, le réticulum endoplasmique et le noyau[1].

Actions biochimiques/physiologiques
Les aldéhydes déshydrogénases (ALDH) métabolisent les composés réactifs endogènes et exogènes pour maintenir l'homéostasie cellulaire. Ce groupe d'enzymes catalyse l'oxydation irréversible des aldéhydes, dépendante du NADP+, pour former des acides carboxyliques. Les isozymes de l'ALDH ont une large spécificité de substrat[1]. L'inactivation de l'ALDH entraîne une cytotoxicité due à l'accumulation de substrat.

Poids	2 Kg
Volume	0,01 m³   (10000 cm³)
Largeur	0,2 m   (20 cm)
Longueur	0,2 m   (20 cm)
Hauteur	0,25 m   (25 cm)

Les dimensions, le poids et le volume sont bruts (emballage inclus)